Voyage en solo à Bali [03.09.23 : Vol en QSuite jusqu’à Bali]
Après un premier vol entre Bruxelles et Doha et une fin de journée à parcourir la ville, me voici de retour à l’aéroport pour la deuxième partie du voyage.
Dès mon arrivée à l’aéroport, je me rends directement vers les portes d’embarquement, en passant tout d’abord la PAF via les e-gate. Un petit sourire pour la photo et c’est bon, me voilà sortie du pays.
Direction ensuite le PIF, où tout est très rapidement expédié également, c’est vraiment l’heure creuse ici, il n’y a vraiment personne.
Je retrouve 7 ans après ce grand nounours jaune, symbole de l’aéroport de Doha.
Je rejoins à présent le célèbre Al Mourjan Business Lounge. Ce dernier est accessible via un grand escalator car il est tout en haut de l’aéroport, juste au dessus du PIF. Un premier contrôle a lieu devant cet escalator, puis un second en arrivant au lounge. La préposée annote mon boarding pass avec la porte d’embarquement, car elle est maintenant connue, il s’agit de la A6. J’ai en plus le droit à un tampon aux couleurs du lounge apposé sur ma carte d’embarquement.
Je découvre ce grand lounge, très aéré et avec une belle hauteur sous plafond.
Il y a beaucoup d’espace et d’ambiances différentes ici, on peut facilement se retrouver seul dans une zone car il n’y a vraiment pas grand monde actuellement.
Je me pose un bon moment avec de quoi boire car j’ai vraiment souffert de la chaleur en visitant Doha et je suis plus que déshydratée. Je passe quelques coups de fils et je profite du WiFi qui m’a tant manqué ce soir en ville. La météo à Doha affiche 36°C ce soir, avec un ressenti de 46°C ! Imaginez un peu l’humidité présente dans l’air pour faire gagner 10°C !
L’heure tourne, je me suis bien reposée, maintenant il est temps d’aller prendre une douche. Je rejoins l’extrémité du salon et demande à une hôtesse. Elle m’accompagne voir sa collègue près d’un espace de détente où se trouve également les douches. Elle scanne mon boarding pass et m’invite à prendre place dans une salle de bain. Tout est propre et à disposition. Il manquerait peut-être un sèche-cheveux et quelques produits de premières nécessité (brosse à dent, dentifrice….), mais ils sont peut-être sur demande, je ne sais pas car je n’en ai pas eu besoin.
Je monte ensuite au restaurant situé à l’étage pour voir un peu de quoi il s’agit. Je suis tout de suite placée à une table et on m’invite à scanner le QR code pour avoir accès au menu. Il y a un menu à la carte, sinon on peut se servir sur les différents buffets présents tout autour de la salle. J’opte pour cette deuxième option et je constate qu’il y a largement le choix, entre pâtes, sushis, préparations asiatiques ou occidentales…
Je prends un thé et quelques mets mais je ne m’attarde pas ici.
Je vais me poser dans un coin éloigné du salon et en profite pour taper quelques mots sur cette interminable journée.
En dessous de moi, je vois les passagers qui pressent le pas, certains arrivent, d’autres repartent. C’est marrant les histoires qu’on peut s’inventer dans un aéroport me diriez-vous.
A 00H30 je quitte le lounge pour me rendre en porte. Je ne sais pas exactement où est la porte A6, ni si j’en suis loin alors je ne voulais pas prendre de risque.
Au final il ne me faudra pas longtemps pour rejoindre ma porte. Un pré embarquement est déjà ouvert, il permet d’accéder à la salle. J’y pénètre immédiatement et vais me poser en attendant de pouvoir cette fois, rejoindre l’avion.
A 1H10, on nous donne le feu vert pour rejoindre l’appareil situé au bout de la passerelle. Notre A350-1000 est prêt à nous ouvrir ses portes.
Je découvre pour la première fois la QSuite, quelle merveille ! Dès l’entrée dans la cabine on se rend compte de la taille imposante de ces suites, aujourd’hui la référence de ce qu’il peut se faire en matière de cabine Business.
Je prends place en 5A, une QSuite située dans le sens inverse de la marche, comme c’est le cas un rang sur deux. C’est un peu surprenant au début de s’installer à l’envers.
La suite est très grande et chaque espace est utilisé intelligemment. On retrouve cette fois une véritable trousse de confort de la marque Diptyque avec le même contenu que le vol précédent, à savoir, une crème pour le visage, pour les lèvres, pour le corps, ainsi qu’un parfum. Au fond, une paire de chaussette, un masque pour les yeux et des boules quies.
Sur mon siège trône également la couverture et les deux coussins, identiques au vol précédent.
La console est remplie de boutons pour déplacer, allonger, ou retirer son siège. On peut se mettre dans à peu près toutes les positions.
En dessous, on trouve bien évidemment les prises électrique et USB mais aussi une surface NFC. J’ai su par la suite qu’elle était utile pour transférer sa playlist mais je n’ai pas eu l’occasion de l’apprendre en amont, dommage.
La télécommande a trouvé sa place encastrée dans la console, de même que la notice de sécurité, dont une spéciale « QSuite ».
Dans le strapontin se cache un espace de rangement où se trouvent le casque et la bouteille d’eau.
L’écran est vraiment immense, on peut même y brancher un câble HDMI pour diffuser ses propres contenus.
L’IFE est le même que précédemment, à la différence qu’il permet en plus de lire son contenu personnel à la manière d’un Chromecast, via un réseau WiFi individuel.
En parlant de WiFi on retrouve l’offre de WiFi gratuite pendant une heure, ce qui est « peu » sur un vol de 10H, pour le reste, il faudra raquer.
L’hôtesse qui va s’occuper de moi ce soir vient se présenter et me présente rapidement la suite, les rangements et les produits à ma disposition. Elle me propose une boisson de bienvenue, j’opte pour le jus d’orange cette fois.
Je serai rapidement servie, avec une serviette rafraichissante.
Elle m’ajoute le menu ainsi que la carte des vins. On nous propose un Late Light Diner pour ce soir mais ce n’est plus « late » là, il est 2H du matin ! Ça sera sans moi, je suis vraiment trop fatiguée. Je lui passe alors ma commande pour le petit-déjeuner, je reste sur l’horaire prévu, 1H30 avant l’arrivée, c’est parfait. L’hôtesse me demande si elle a le droit de me réveiller si jamais je dors à ce moment-là la réponse est positive (et entre nous, ça m’étonnerai que je dorme encore dans si longtemps).
Le CCP vient lui aussi se présenter à moi et me dira quelques mots en Français pour me souhaiter la bienvenue à bord. Il m’indique que le vol sera de 9H20 d’après le commandant de bord, on devrait donc rattraper le retard que nous sommes en train d’engendrer actuellement.
Par le hublot je vois l’embarquement qui se poursuit toujours, il faut dire qu’il en rentre des gens dans un A350, mais quand on voyage en J, on ne s’en rend pas vraiment compte.
On vient ensuite me demander la taille que je désire pour le kit de nuit, comprenant un pyjama et des pantoufles. Même si j’ai des habits confortables, c’est toujours chouette d’avoir une tenue différente pour s’assoupir.
En voulant sortir la tablette je m’aperçois que je ne parviens pas à la ranger, il me faudra quelques minutes avant de comprendre comment fonctionne le bouton situé juste en dessous.
Une petite musique accompagne cet embarquement qui est plutôt calme vue l’heure tardive.
L’embarquement est indiqué terminé à 1H45. Le commandant de bord se présente et nous indique effectivement 9H20 de vol pour rejoindre Bali Denpasar.
La ceinture n’est pas 3 points cette fois, il s’agit d’une ceinture classique, ce que je préfère.
Les écrans diffusent des consignes spécifiques concernant les QSuites, et ça répond à toutes les questions que je me posais. Chaque bouton, chaque rangement, chaque option est détaillée dans cette vidéo.
La vidéo démonstration de sécurité suivra juste après. Les lumières colorées illuminent la cabine, nous allons bientôt partir.
Le push back a lieu à 1H45, ce qui est assez étrange à voir lorsqu’on est dans le sens inverse car du coup, pour moi on push à l’endroit ! haha
Quelques annonces complémentaires de la part des PNC ont lieu concernant les cigarettes, et une précision pour ceux qui portent un masque de penser à l’enlever avant d’utiliser le masque à oxygène (ça coule de source).
Il est 2H et nous partons au roulage à travers les pistes de l’aéroport de Doha, nous croisons plusieurs copains Qatar Airways qui prennent aussi leur envol pour d’autres cieux.
Une lumière violette envahi la cabine durant ce roulage qui n’en finit plus. Il est finalement 2H26 quand nous quittons Doha.
La vue sur le centre-ville est magnifique, nous survolons les buildings où j’étais tout à l’heure.
Nous survolons la mer et en dehors de quelques bateaux au large, il n’y a pas âme qui vive dans le coin.
Nous avons à peine décollé que les PNC passent pour déverrouiller nos portes et nous enferment ainsi dans nos suites. Sauf que voilà, comme nous sommes toujours en phase de montée, ma porte ne tient pas fermée et s’ouvre d’elle-même. C’est dommage de ne pas l’avoir aimantée pour ne pas que ce problème arrive.
Je vais faire un tour aux toilettes afin de mettre mon pyjama, ce dernier est un peu grand mais fera l’affaire.
Ici, pas de brosses à dent/rasoirs visibles dans les toilettes, il faudra penser à ouvrir un tiroir pour trouver tout l’attirail.
Il n’y a pas de joli présentoir dans le galley comme sur le 787, ici chaque place est optimisée et il faut dire que les QSuite prennent une place monstre.
Une fois mon pyjama enfilé, j’entreprends de mettre mon siège en mode lit mais cela ne fonctionne pas, il revient systématiquement dans la position assise. Je sais qu’en général quand ça fait ça c’est qu’il y a quelque chose qui coince mais là, j’ai enlevé toutes mes affaires du sol, je ne comprends pas.
J’appelle donc à l’aide et le steward viendra immédiatement me voir et redémarrera le siège avant de réenclencher quelque chose. Cette fois c’est bon. Ce dernier s’excuse de ce petit problème et me dit que les capteurs ont parfois des problèmes.
Je m’enferme dans ma suite, allongée, éteins toutes les lumières et glisse la couverture jusqu’en haut. Je n’ai jamais trop réussi à dormir mais là je suis vraiment confortablement installée, j’ai la place de me retourner, de bouger, bref toutes les conditions sont réunies. Avec le masque et les boules quies, me voilà prête pour une petite nuit.
Il est 6H (heure de Doha) quand je me réveille, nous sommes au-dessus de l’Inde, on pourra vraiment dire que j’ai dormi dans cette cabine, c’est un point très important à soulever, moi qui ne dors d’habitude pas vraiment (l’excitation, l’envie de tout tester, de profiter du vol, etc). Il reste un peu plus de 5H de vol à présent.
Il y aura quelques turbulences, rien de grave, mais ça me fera d’autant plus constater à quel point ma porte ne tient pas correctement fermée et que c’est drôlement pénible.
La cabine ronfle toujours alors que pour ma part j’essaye doucement de me réveiller en commandant un thé. Le steward accourt prendre ma commande et me signale que j’aurai des cookies avec, le plus dur étant de choisir à quelle saveur. Une valeur sûre : chocolat.
C’est à ce moment là que de fortes turbulences choisissent de faire leurs apparitions.
A chacun de mes passages aux toilettes, je remarque qu’un PNC s’y rend pour tout remettre en ordre.
Nous poursuivrons notre vol malgré les nombreuses petites turbulences qui nous font parfois un peu tanguer.
Peu avant 9H (heure de Doha), on vient m’amener mon smoothie pour le petit-déjeuner, s’en suit le dressage complet de la table. Les céréales, le lait, la confiture, les viennoiseries (bon, pour le croissant, je suis trop Française pour faire un commentaire intéressant sur ce sujet.), tout y est.
S’en suit ensuite le gâteau à la cannelle. La PNC l’a remarqué et m’a demandé si je voulais autre chose. Honnêtement non, je ne veux rien manger d’autre pour le moment.
Je commence à avoir envie d’aller aux toilettes (avec tout ce que je bois, est-ce étonnant ?) mais ils sont tout le temps occupés. Un steward remarque que j’attends et se charge de me prévenir quand la voie est libre après avoir bien sûr vérifié que tout était en état à l’intérieur. Il était vraiment adorable, au passage il m’a demandé si j’avais pu me reposer. Et bien oui franchement, dormir 3H sur un vol c’est rare pour moi.
A ma sortie des toilettes, une hôtesse me tend un petit sachet de bonbons à la menthe qu’elle distribuait en cabine. J’en trouverai un second à mon siège.
Le commandant de bord prend la parole à 10H45 pour nous indiquer que nous entamons notre descente prochainement sur Bali. La température est de 28°C avec un léger vent à destination, c’est déjà beaucoup mieux que la météo à Doha !
La descente est amorcée, dernière chance d’aller aux toilettes indique le commandant de bord !
Un dernier oshibori m’est distribué, suivi d’une autre serviette rafraichissante.
Le moodlighting annonçant la descente est vraiment du plus bel effet, je suis fan. L’hôtesse vient procéder au verrouillage des portes en position ouverte puis s’en vient le CCP qui me demande comment s’est passé mon vol. Évidemment, il faudrait être drôlement difficile pour ne pas avoir passé un bon vol.
Il est 16H35 (heure de Bali) lorsque nous nous posons à DPS. La petite promenade sera vite stoppée car il y a de nombreux appareils en attente de stationnement devant nous. Finalement, au bout de 5 minutes nous voici stationnés. La passerelle se rapproche de nous et nous voilà libres de partir. C’est la fin du rêve QSuite mais le début du rêve Bali.
Une dernière salutation aux PNC qui ont fait de ce vol un très beau moment, puis c’est l’heure de partir.
Dès l’entrée dans l’aéroport nous sommes plongés dans l’ambiance balinaise avec des décorations traditionnelles.
Je poursuis vers les bagages et arrive finalement devant l’immigration, la queue est immense. Heureusement, j’ai déjà fait mon e-VOA en ligne, j’ai uniquement besoin de passer devant le policier pour qu’il me colle le sticker sur le passeport et effectue la prise de photo et empreinte. Cette queue-là aussi est assez importante, je suis donc contente de devoir n’en faire qu’une seule. Faire le visa en ligne coûte le même prix qu’à l’aéroport, ça prend 10 minutes et ça permet de gagner beaucoup de temps à l’arrivée.
Pendant l’attente, j’essaye d’envoyer un message à mon chauffeur mais c’est difficile, le réseau wifi de l’aéroport est vraiment tout pourri. Je parviens à avoir l’information qu’il est bien là à m’attendre, c’est déjà ça, on devrait bien se retrouver à un moment quand même.
Une fois cette étape de passée, je vais retrouver ma valise qui a semble-t-il déjà fait quelques tours de tapis.
Valise récupérée, il me faut désormais passer la douane et là encore, mes préparatifs m’ont fait gagner beaucoup de temps. Je n’ai qu’à tendre le QR code à la préposée, qui le scanne et me laisse aussitôt passer.
Prochaine étape, retirer de l’argent. Il y a justement des distributeurs juste à la sortie de la douane. Ici, ils appartiennent forcément à des banques, il n’y a donc aucun frais de retrait mais ces derniers sont limités à 1250000 IDR soit environ 76€. Je retire sur deux cartes différentes ce montant, voilà qui me permettra de tenir les premiers jours et de payer mon chauffeur.
Dernière étape avant de quitter les lieux, acheter une carte SIM. Il y avait plusieurs opérateurs proposant leurs services un peu plus tôt dans le parcours, mais je savais que les tarifs étaient plus intéressant à la toute fin. Évidemment, sur Ubud ça aurait été encore mieux mais je préfère faire ça ici pour être tranquille.
Je choisis le forfait prépayé à 25Go chez Telkomsel, tout est fait pour faciliter l’enregistrement qui ne prend en tout est pour tout que 5 minutes. En ce laps de temps, une première personne a introduit la puce dans mon téléphone et la deuxième m’emmène à la borne pour faire l’enregistrement de mon IMEI (c’est obligatoire). Elle fait elle-même le nécessaire pour tout activer et me tend mon téléphone opérationnel avec du réseau. Le coût est de 400 000 IDR, à payer en cash. Je parviens à dire à mon chauffeur que j’arrive dans pas longtemps et ce dernier m’envoie une photo de sa pancarte afin que je le repère.
Je peux maintenant rejoindre Wayan avec qui je vais faire plusieurs jours de visites à travers de l’île cette semaine, et qui vient aujourd’hui me chercher à l’aéroport pour m’amener à Ubud. Il est tout de même 17H45 et nous avons un bon trajet à faire.
En sortant de l’aéroport je me retrouve face à une marée humaine, et je pèse mes mots, il y a des centaines de chauffeurs/guides qui attendent ici leur client avec une pancarte nominative. C’est ultra drôle !
La température extérieure ne m’a pas du tout choquée et est plutôt agréable, il ne fait pas plus de 30°C et l’humidité n’est pas si terrible, rien à voir avec le Japon ou la Corée en plein été.
Je retrouve étonnement assez facilement Wayan dans la foule. On se fait signe et on se rejoint au bout de la route. Nous voilà partis en direction du parking pour aller récupérer sa voiture.
Il s’occupe de mes bagages et m’invite à prendre place. La voiture est confortable et sécuritaire, nous faisons connaissance pendant les 1H45 de route jusqu’à Ubud. Le trafic ici est comme je l’imaginais, mais en pire. Mettre 1H45 pour faire 22km c’est quand même fou, non seulement les routes sont minuscules, on ne roule pas vite, mais en plus c’est embouteillé de partout, les scooters déboulent dans tous les sens, les piétons marchent sur la route, quel chaos !
Nous arrivons à 19H30 devant Tegal Sari Accomodation, où se trouve ma villa, en plein cœur d’Ubud. Je remercie Wayan, nous ne nous voyons pas demain mais on se donne rendez-vous Mardi.
Je suis accueille avec un grand sourire par une demoiselle et un jeune homme qui effectuent mon check-in avant de me remettre la clé de la villa. J’ai le droit à un verre de bienvenue mais là tout ce que je veux c’est aller dormir donc je vais passer mon tour pour cette fois. On m’invite alors à venir visiter les lieux alors qu’on conduit ma valise directement sur place.
La villa est magnifique, la porte s’ouvre sur la piscine à débordement cachée sous les bananiers et la chambre, avec sa hauteur sous plafond exceptionnelle, donne directement sur une grande salle de bain. Il faut passer par l’extérieur pour rejoindre le salon, salle à manger, cuisine, qui héberge également des toilettes supplémentaires. Je vais me plaire ici ! Tout a été pensé pour un accueil exceptionnel, produits anti moustiques, serviettes de piscine, étendoirs à l’extérieur, pantoufles, fontaine à eau, tout est présent, rien ne manque.
Je prends rapidement possession des lieux et défais enfin mes affaires, 26H après mon départ de Bruxelles.
L’envie de sauter dans la piscine me titille mais la fatigue l’emporte.
Il est 22H30 quand je tombe finalement dans les bras de Morphée après ce long trajet, prête à découvrir Bali, dès demain.